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libre arbitre - Page 3

  • XYZ, ABCD Un article scientifique "Les neurones de la pensée libre" proche des hypothèses de M. Henri Laborit

    Humour. Un scientifique publiant dans « Pour la science » dévoile notre structure !

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  • Les jugements ! Les gens s’accusent les uns les autres, se critiquent sans fin !

     (Le masculin neutre sera utilisé)

    Ne se focalisent-ils pas sur les arbres qui cachent la forêt ? ! Ne confondent-ils la paille et la poutre ? !

    1)      En une question : « Vous pensez-vous libre ?», ne pourrait-on pas se construire une idée plus claire de la mentalité de l’interlocuteur/trice ? !

    Le « oui » implique la responsabilité des dires et actes … 

    (En passant, Sartre, dans « L’Être et le néant » a explicité à quoi aboutissait, dans la théorie de la liberté existentielle, la « mauvaise foi » … V. Internet)

    2)      Une expression « La dignité humaine » ne suffirait-elle pas pour différencier l’homo dit sapiens (sage) et l’homme vrai ? !

    Selon la puissance des trois composantes principales du cerveau, les réactions des individus ne varieront-elles pas ? !

    (Rappel) Ne peut-on pas considérer que notre cerveau est une sorte de compilation ou l’entremêlement de trois composantes principales ?

     -Le cerveau reptilien, qui dote tous les animaux à partir des reptiles, déclenche automatiquement l’instinct de survie, s’occupe de la reproduction.

    -Le cerveau des émotions (ou limbique ou mammalien), qu’on retrouve chez les mammifères, assure le pilotage automatique (conditionnements, habitudes, surmoi) via la mémorisation de tous les événements et l’accompagnement d’un critère qualificatif (Plus ou moins agréable, désagréable). Il gère aussi, entre autres,  la quête de l’équilibre ou bien-être ou plaisir basique.

    -Le néocortex est une sorte d’excroissance corticale qui particularise l’homo dit sapiens, qui permet d’anticiper, d’imaginer, de comparer, d’analyser, d’abstraire, de symboliser, etc.

    (Récemment, des chercheurs se sont aperçus que des singes étaient capables d’ébaucher ce genre de manœuvres. V. l’ajout à la fin …)

    *On n’associe le mot « dignité » qu’à l’homme !

    Parler d’un animal digne ou indigne apparaîtrait absurde puisqu’il ne possède pas de néocortex capable de  réfléchir …, puisqu’il n’est pas « libre » !

    Son cerveau reptilien l’amène automatiquement à entreprendre toute action favorable à la maintenance de la vie.

    **L’homme vrai, symétriquement, en se servant en priorité de son néocortex, n’accepte de vivre que dans la « dignité humaine » ou se révolte et lutte en permanence contre l’indignité qui lui semble inacceptable …

    Il n’est pas possible pour lui de trahir ses engagements, de survivre en se conduisant de manière indigne !

    L’exemple du héros de la saga chrétienne, Jésus, fournit une illustration.

    ***Dans ce cadre précis, que peut-on déduire des êtres qui respirent et cogitent tranquillement alors qu’existent des prisons indignes ? ! Qui sont indifférents aux sorts horribles des milliards de femmes presque sans droits, opprimées sous la férule de dits maris dans le monde musulman ? ! Qui cautionnent donc implicitement les systèmes en place ? !

    (S’il est vrai que, même en Europe, les femmes sont infériorisées et donc défavorisées, le décalage est sans commune mesure et, le développement de l’esprit critique ou du néocortex aidant, les inégalités tendent à diminuer ! Bien sûr, ce ne peut être le cas d’une personne passant ses journées à apprendre par cœur puis à réciter des textes datant de Mathusalem : voir le cas des catholiques intégristes, pour ne parler que d’eux … puisque n’ayant pas envie d’être égorgé comme un mouton ! )

    ****A chacun de « choisir » son camp !

    -Ou il se veut libre … avec ce qui en découle.

    -Ou, en tant qu’homo dit sapiens qui reconnaît être agi par la prééminence du cerveau des émotions et  l’attrait des plaisirs, être victime de l’addiction « Toujours plus », il échappe au jugement puisque non responsable ou non libre … !

    *****Certains  ne laissent-ils pas entendre que ceux qui se croient les plus libres sont souvent  seulement les plus inconscients ! (À vous de décider !)

    ******Avant Freud, Jésus le proclamait déjà : Luc, XXIII, 34 Et Jésus disait : « Père, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font. ».

    Allant aussi dans ce sens, en 2005, les résultats de l’évaluation comparative de notre génome et de celui du chimpanzé (À savoir : une différence voisine de 1 %), au lieu de nous avoir permis d’évoluer, de prendre conscience de notre état réel, ont été enterrés à l’unanimité par les croyants et les rationalistes pour qui les deux paraboles de base (L’une étant la symétrique de l’autre : « L’homme a été créé à l’image de Dieu », « L’homme est un dieu en devenir », le D ayant été ravalé au statut de d) n’étaient pas compatibles avec l’image de « bonobo boosté » !

    C. Q. F. D. (Oui / Non) ? !

    Hourra ! Le chimpanzé peut être aussi vicelard que nous ! 

    Blog Sur-la-Toile.com  16-05-12

    Ce sont les scientifiques qui ont bondi de joie lorsqu'ils ont vu de quoi était capable un chimpanzé mâle lorsqu'il voulait faire un « sale coup ». C'est sérieux et narré dans une étude publiée dans la célèbre revue Plos ONE. On y parle de SANTINO, un mâle chimpanzé de 34 ans qui est détenu dans un zoo. Tout s'est passé en 2010. Non seulement l'animal a envoyé deux pierres sur des visiteurs, mais, avant de le faire, il s'est rapproché autant que possible, aussi innocent qu'un enfant de chœur, car il avait dissimulé le tas de cailloux derrière une haie ! Il n'y a pas eu de blessé. Ce comportement diabolique s'est répété pendant quatre heures (puis, j'imagine, il est arrivé à court de munitions).

    Les scientifiques exultent, car cette démarche cognitive suppose une anticipation. On croyait jusqu'alors que seule notre espèce était capable d'imaginer le futur (dont notre prochaine mort). Mieux : notre cousin a été capable, lors du retour de visiteurs, d'inhiber ses manifestations classiques de dominateur (à la Aldo Maccione) et de cacher les pierres. On ne peut toutefois savoir si ce singe se représentait l'état mental des autres (dont celui de ses victimes). Si vous vous ruez sur le Zoo de Furuvik où cela s'est passé, sachez que Santino n'a plus rien envoyé. Certains supposent qu'il a compris que la vengeance est un plat qui se mange froid et qu'il prépare un sale gros coup de son cru.

    Xyzabcd !

     

  • Une VISION DE LA VIE, du « JEU DE LA VIE » (Une mise à jour 2012)

     Il me semble que le « manque » et le « déséquilibre » et la « vie » vont de pair ; qu’ils sont les composants des motivations qui alimentent le moteur de la vie.

                (Dans un paradis idéal, sans aucun besoin, pas de réaction, d’action, de mouvement, d’animation, de vie) (Henri Laborit, -biologiste célèbre décédé en 1995- le voyait ainsi)

                N’est-on pas obligé (Le masculin neutre sera utilisé) de « respirer », « manger », donc tuer des plantes ou des animaux ?

                La gestion d’un milieu fermé n’implique-t-elle pas la manifestation effective des écosystèmes, c. à d. celle d’agents de dégradation, d’élimination avant transformation et renaissance ? !

                Des êtres vivants, par définition, partiellement démunis, dans un milieu qui n’est pas spécialement accueillant ni hospitalier, n’ont-ils pas forcément tendance, dans l’espoir d’accéder à l’état de bien-être momentané, à la sécurité temporaire, à parier, miser ? A élaborer des tactiques, des stratégies pour vaincre les obstacles, les adversaires, pour ensuite consolider ces gains ?

                Dans ce cadre assez flou, excepté pour ceux qui prétendent connaître le « sens de la vie » (Les « croyants », les idéologues, les fanatiques, les rationalistes), la route à suivre est-elle claire ?

    Ces structures n’évoquent-elles pas celles qui organisent les jeux ?

    Un jeu ne « marche-t-il pas bien » quand peu de gagnants cohabitent pacifiquement avec une grande masse de perdants parce que liés par « l’espoir » de s’en sortir avec un peu de chance ? ! (A noter, en passant, que le « principe de symétrie », plus scientifique, se faufile ! Par ex. le sens d‘un mot n’exige-t-il pas l’existence de sa négation ? ! Les termes froid et chaud, léger et lourd, naissance et mort, etc., ne vont-ils pas de pair comme les deux faces d’une pièce de monnaie traditionnelle ? !)

                Si la proportion des gagnants était  trop élevée et donc des rapports trop modestes ou si celle des perdants ruinait l’intérêt de la participation, le jeu ne perdrait-il pas toute crédibilité ? Tout ne s’effondrerait-il pas ? Un autre jeu, plus élaboré mais reposant sur les mêmes attraits et risques ne prendrait-il pas alors la relève ?

    Succinctement, ne distingue-t-on pas plusieurs types de profil ?

                Ont soif de s’élancer les concurrents croyant en leur avenir. Les résignés et soumis  ou les « pas de chance » se contentent de respirer (ou presque). Les désabusés sont parfois amers.

    A NOTER que dans tous les cas, quels que soient le talent ou/et la force des acteurs en compétition, le grand Manège ne peut tourner correctement et perdurer que selon certaines modalités, qu’en respectant certains quotas ! Peu importe la qualité ou l’intelligence des participants !

    C’est ainsi que plus synthétiquement, (la maturité aidant), on différencie ceux qui ont saisi le système posé par le créateur du Jeu de ceux qui se précipitent dans l’espoir plus enfantin ou « adulescent » d’obtenir des récompenses !

    Mais on est contraint de considérer que ces derniers constituent parallèlement les éléments moteurs du Jeu, sont indispensables pour la bonne marche de l’ensemble ! Qu’il serait aussi utopique et absurde de vouloir les supprimer que de s’attaquer à la disparition des ombres provoquées par le Soleil !

    Il semble normal que les jeunes êtres adhérent à ces jeux puisque c’est la période de la curiosité, de la découverte, de l’apprentissage, etc.

    ·         N’est-il pas plus bizarre qu’en prenant de l’âge on ne soit pas amené à relativiser, à démystifier cette « soif » du plaisir du jeu terrestre, voire à imaginer plutôt une suite heureuse dans l’après- vie !

    ·         En prenant du recul, sans doute que peu importe !

    ·         C’est ce qu’on peut espérer mais ce qui ne nous est pas permis de connaître, les dimensions de notre mental étant trop petites ! Serions-nous les chefs-d’œuvre de l’Univers ou seulement des éléments de l’espèce pour le moment la plus complexe, celle des homo dits sapiens (sages !), celle dont le génome se différencie de moins de 1 % de celui du bonobo ? !

     Des remarques ! 

    L’emploi du mot « homme » associé  au terme « dignité » est-il facile ? ! Bien souvent, ne constate-t-on pas que les activations :

    -du cerveau reptilien qui gère l’instinct de survie (par tous les moyens),

    -du cerveau des émotions qui recherche automatiquement (sans forcément passer par l’analyse du néocortex) le plaisir,

    sont prédominantes ?  Où se trouve alors la « liberté » ou le « libre arbitre » ?

                Le sens du principe de Pareto (ou règle des 20 % / 80 %) :

    -qui a d’abord été introduit, fin 19ième siècle, par un économiste pragmatique ayant observé qu’en général 20 % de la population aisée d’un pays voisinait plus ou moins pacifiquement avec les 80 % plus pauvres,

    -qui a pu être validé en tant qu’opérateur s’appliquant dans la physique des fluides et flux (v. Internet), est-il suffisamment recherché et valorisé ? !

     Par analogie, un spectacle théâtral ne se révèle-t-il pas en tant que chef-d'œuvre par la richesse, la diversité, la multiplicité, de tous les « bons » et « mauvais » rôles ? Et ce qui se passe dans les coulisses a-t-il un rapport avec le jeu de scène ? Attribue-t-on nécessairement le rôle le plus facile à l'actrice ou l'acteur le plus doué(e) ?

    Si on revient sur l’expression « Jeu de la vie », n’évoque-t-elle pas aussi parfois « L’enfer du jeu » quand on s’y accroche désespérément. Certains ne rêvent-ils pas d’immortalité       alors que tout est structurellement quasiment « cyclique » (entre les points ou moments de     rupture de la physique quantique …) ?  ! Presque comme dans la Bible mais à une symétrie près puisque les déchus étaient condamnés éternellement et ne pouvaient s’échapper !